La meilleure solution pour chaque école

Écoutez l'entrevue de notre directrice à l'émission Première heure de Radio Canada ce matin. https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/premiere-heure/segments/entrevue/94982/recyclage-recuperation-ecole-quebecere-genest

Pour ce projet pilote initié par la CMQ, la participation financière des partenaires suivants est nécessaire: Recyc-Québec et le Conseil canadien des manufacturiers de contenants multicouches; ainsi que l’implication de la Ville de Québec et des MRC de la Jacques-Cartier et de l’Île-D’Orléans pour l’achat des équipements dans les 10 écoles qui participent.

Voici un résumé de la démarche qui a conduit à la réalisation de ce projet pilote :

Dans le but d’atteindre les objectifs du Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles de la Communauté métropolitaine de Québec (Rive-Nord) 2016-2021 (PMGMR), la mesure no 6 de ce plan demande de « Développer et implanter des mesures incitatives et de soutien favorisant la récupération (secteurs ICI et résidentiel) ».

Pour rappel, la CMQ a demandé une étude sur la récupération dans les écoles, qu’elle a rendues publiques en septembre 2017. Cette étude mentionne notamment que le taux de récupération est très faible et que parmi les principales causes se trouve la difficulté de rincer les contenants et d’effectuer le transfert des matières d’un bac roulant intérieur à un conteneur extérieur. Pour pallier à ces obstacles, les conseillers en gestion des matières résiduelles des composantes territoriales de la CMQ ont convenu de mettre en place un projet pilote visant spécifiquement la récupération des contenants. Recyc-Québec et le Conseil canadien des manufacturiers de contenants multicouches ont donné leur appui à ce projet pilote.

Ainsi, il est recommandé de mettre en place un projet pilote testant deux méthodes d’implantation distinctes, soit une active et une passive. La CMQ a mandaté Québec’ERE pour tester la démarche active dans cinq écoles et Chamard Stratégies environnementales pour tester la démarche passive dans cinq écoles. Les équipements sont fournis par les organisations municipales. Selon les résultats obtenus, cette démarche pourrait être reproduite dans d’autres écoles du territoire.